“Ryu Blast, c’est plus qu’une boisson. C’est une vision pop, une marque vivante.”

Je suis un pur produit de la génération Club Dorothée, bercé par Dragon Ball Z, les chevaliers du Zodiaque et les VHS qu’on rembobinait à la main.

Un vrai collectionneur, passionné de gaming, d’animation japonaise, de sneakers et de storytelling.

J’ai vécu à New York lorsque j'avais 20 ans, j’ai appris le business à Marrakech à 25 ans, et j’ai étudié à la Sorbonne en Master de Droit Public.

J’ai terminé 2e au concours d’éloquence des étudiants en droit de Lorraine, mais très vite, c’est dans la création de marques que j’ai choisi de mettre toute mon énergie.

Avec plus de 10 ans dans le marketing, j’ai appris à faire les choses différemment, dans l’ombre, à ma manière. Ryu Blast, c’est l’aboutissement de tout ça.

Aujourd’hui, on approche des 100 points de vente :

• des magasins Leclerc,

• des stations essence au Luxembourg,

• des centres e-sport comme EVA Gaming, le cinéma Kinépolis

• et des fast-foods emblématiques, notamment les trois “124” qui nous ont soutenus dès le début.

Ryu Blast explose, parce que ce n’est pas une marque “à la mode”. C’est une extension naturelle d’un univers culturel, nourri par des années de passion, de veille, de connexions — et un réseau solide qu’on active sans faire de bruit.

Et oui, j’ai un réseau solide. Mais plus que ça, j’ai une exigence : faire les choses bien, et faire les choses grandes.

Derrière chaque canette, il y a une vraie direction artistique, une vision long terme, et un univers qu’on ne copie pas — on le crée.

L’objectif est simple : construire une marque iconique, qui parle autant à la génération 90 qu’à celle qui arrive.

C’est une marque née dans l’ombre, pensée pour durer, avec une vraie direction artistique, une vraie âme, des process scalable, un delta d'évolution énorme… et un réseau qui s’active comme peu de marques peuvent s’en vanter. Le reste ? Tu vas le voir, pas besoin d’en dire plus.

Ce n’est que le début...